haïkus,
collages, montages
télescopage
d'images, de temps, de mondes
notes, essais, traces
un mouvement continué
sculpter, capter, déformer
et recommencer
nicolas droin
CECI N'EST PAS UN PARC
août 2018
"-Qu'as-tu vu dans ce parc ?
- rien"
Maryon Park, juillet 2009. Visite du parc où fut tourné le film Blow up de Michelangelo Antonioni. Entre présence et absence, ombres et lumières, il n'y a rien à Maryon Park.
Essai vidéo sur l'entre-paysage que constitue le lieu de tournage d'un film, "ceci n'est pas un parc" interroge Maryon Park comme entre-deux, entre fantasme et réalité, entre image et lieu.
Je n'ai rien vu à Maryon Park, comme Thomas le photographe, à part peut-être du vent dans les arbres.
DES SIGNES SUR LES MURS
avril 2018
Réalisé dans le cadre d'un "cadavre exquis" avec Samy Souiou, "des signes sur les murs" est un essai vidéo
filmé entre Bologne et Montreuil, dans le mouvement d'aller et retour, de proche et de lointain,
qui lie deux êtres.
Avec Garance Rigoni.
à force de regarder
S'inspirant de la forme des haïkus (poèmes japonais), le film est composé de trois plans.
Nicolas Droin, janvier 2018.
DANS L'ESPACE QUI SEPARE
haïku - octobre 2017
Dans l’espace qui sépare n’est pas un film. Plutôt un essai.
Des notes, images, pour un plus tard ajourné. Des repérages pour des films passés et à venir.
Comme des esquisses, des traits tirés au hasard des espaces.
Ne serait-ce que ces lieux sont ceux qui me fondent et fondent mon envie de cinéma.
Hors-lieux, entre-lieux, à la marge, ils sont l’espace qui sépare et en cela rapproche.
Montage, éclats, de lieux incompossibles et de films possibles/impossibles.